Le trait Commun Aux Gens Qui Ne Réussissent Pas


Je voudrais partager aujourd’hui avec vous un passage très fort de l’excellent livre Réfléchissez et Devenez Riche de Napoleon Hill.
Il parle de toutes les excuses que nous formulons régulièrement pour excuser le fait que nous n’avons pas (encore) obtenu les victoires auxquelles nous aspirons. Cela fait réfléchir !
Le voici :

Les gens qui ne réussissent pas ont un trait commun : ils connaissent les raisons de leurs échecs, y croient et les expliquent en les excusant irréfutablement.
Certaines de ces excuses sont intelligentes, mais fort peu sont justifiées par les circonstances. Les excuses n’ont jamais fabriqué l’argent et le monde ne s’intéresse qu’à la victoire.
Voici une liste des excuses le plus couramment employées. Faites votre examen personnel et déterminez celles que vous avez coutume d’utiliser.
Rappelez-vous qu’elles sont toutes erronées.
 » Si je n’avais pas une femme et des enfants…
Si j’avais plus de courage…
Si j’avais de l’argent…
Si j’avais une bonne instruction…
Si je pouvais trouver du travail…
Si j’avais la santé…
Si seulement j’avais le temps…
Si les temps étaient meilleurs…
Si les autres me comprenaient…
Si les circonstances étaient différentes…
Si je pouvais revivre ma vie…
Si je n’avais pas peur du “qu’en dira-t-on”…
Si on m’avait donné ma chance…
Si j’avais la chance…
Si les autres n’avaient pas une “dent contre moi”…
Si rien ne m’avait arrêté…
Si j’étais plus jeune…
Si je pouvais faire ce que je veux…
Si j’étais né riche…
Si je pouvais rencontrer “les personnes qu’il me fallait”…
Si j’avais le talent que certains ont…
Si j’osais me mettre en avant…
Si seulement j’avais su profiter des occasions passées…
Si les gens ne m’énervaient pas autant…
Si je ne devais pas garder la maison et m’occuper des enfants…
Si je pouvais mettre de l’argent de côté…
Si mon patron pouvait seulement m’apprécier…
Si au moins j’avais quelqu’un pour m’aider…
Si ma famille me comprenait…
Si je vivais dans une grande ville…
Si on pouvait m’aider à commencer…
Si seulement j’étais libre…
Si j’avais la personnalité d’un tel…
Si je n’étais pas si gros…
Si mon talent était reconnu…
Si je pouvais avoir un moment de repos…
Si je pouvais régler mes dettes…
Si je n’avais pas échoué…
Si seulement j’avais su comment…
Si tout le monde n’était pas contre moi…
Si je n’avais pas tant de soucis…
Si j’avais pu épouser la personne qu’il me fallait…
Si les gens n’étaient pas si bêtes…
Si ma famille n’était pas si extravagante…
Si j’étais sûr de moi…
Si la chance n’avait pas été contre moi…
Si je n’étais pas né sous une mauvaise étoile…
Si ce n’était pas vrai que “ce qui doit être sera”…
Si je n’avais pas à travailler si dur…
Si je n’avais pas perdu tout mon argent…
Si je vivais dans un autre milieu…
Si je n’avais pas de “passé”…
Si seulement j’avais une affaire à moi…
Si les autres voulaient seulement m’écouter…
SI… et c’est le plus grand de tous, si j’avais le courage de me voir tel que je suis réellement, je trouverais ce qui cloche en moi et j’y remédierais. J’aurais alors une chance de savoir profiter de mes erreurs et de tirer un enseignement des expériences d’autrui.
Justifier un échec par des excuses est un passe-temps national. Cette habitude, aussi ancienne que la race humaine, est fatale au succès. Pourquoi les gens se cramponnent-ils à leurs excuses ? Parce qu’ils les ont créées.
L’excuse d’un homme est l’enfant de son imagination. Défendre sa progéniture est humain.
Imaginer des excuses est une habitude fortement enracinée. Les habitudes sont difficiles à rompre, spécialement quand elles veulent justifier des actes. (..)
Certaines personnes restent pour moi des énigmes”, dit Elbert Hubbard, “ce sont celles qui se trompent en consacrant beaucoup de temps à la mise au point de leurs excuses. Elles consacreraient ce temps à vaincre leurs faiblesses qu’elles n’auraient plus besoin d’excuses.
Pour atteindre ses objectifs et mener la vie que l’on veut vraiment avoir, il faut chasser de son esprit les pensées négatives. Le contrôle de l’esprit est le résultat de l’autodiscipline et de l’habitude. Ou vous contrôlez votre esprit ou c’est votre esprit qui vous contrôle. Il n’y a pas de moyen terme. Prenez l’habitude de l’occuper dans un but précis, selon un plan défini. Utilisez l’autosuggestion pour saturer votre subconscient de pensées positives et créatrices. (Voir à ce sujet l’article : « Le Pouvoir de l’Autosuggestion selon Napoleon Hill ».





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